Mercredi 30 janvier 2008 à 0:23

On se ressemble tous tellement... C'est vrai regardez nous... On se cotoit, on s'aime bien, on se deteste ou on s'adore. Mais si quelqu'un qui ne connait personne arrive parmi nous il nous trouvera tous pareil. Et c'est dommage. On a chacun son caractère, ses idéaux, sa personnalité, ses gouts... Et pourtant, et pourtant...

Qui arrive à se sortir du lot? Qui oserait, mais comment en est on parvenu à devoir parler de courage pour pouvoir être soi même? Je trouve ça triste, dommage.

Je parle en quelque sorte pour moi? Oui un peu. Je voudrais avoir le courage de me percer l'oreille, de porter ce que j'aime et pas ce qui devrait plaire aux autres, dire tout haut ce que je pense ou parfois ce que d'autre pensent aussi tout bas. Mais ma force de caractère ne se trouve pas là semble t-il...

Ma foi je trouve cela dommage... Cela me plairait de savoir plaire,mais pour ça il faut que je me retrouve.

C'est facheux quand même... (oui j'aime bien ce mot... Fâcheux!)  Je disais  être complétement moi même, donc, c'est facheux de se perdre ! Et de douter, de remettre des choses importantes sur le devant de la scène pour vérifier qu'elles nous correspondent bien...

Enfin... Je ne suis pas la seule dans ce cas là ! C'est déja ça ! Et puis une personne géniale m'a dit des choses si adorables sur moi dimanche que je ne devrait pas pouvoir douter de moi... Et je sais qu'elle sera toujours là pour moi. Elle et d'autre non?!

Je vous laisse... Sur un sourir timide mais qui deviendra peu être, non pardon, surement, un grand sourir comme je sais les faire... ( non je n'ai pas dit bien faire!)

Lundi 14 janvier 2008 à 22:46

Remise en question Sur plusieurs points. Superficiels ou non

Suis-je à ma place en psycho ? Suis-je à ma place dans cette école avec ces gens là ? L'impression d'être avec eux sans qu'ils soient avec moi… Ne pas être en trop, pouvoir manquer, parfois, mais ne pas être forcément nécessaire. Je ne veux pas blesser en écrivant ceci, loin de moi cette idée. Vraiment. Je veux juste me soulager, me libérer de ce que je ressens malgré moi, sans savoir pourquoi. Non je ne suis pas en psycho pour me comprendre moi-même, je ne veux même pas y penser, ça me fait trop peur. Oui j'ai peur de moi. C'est même ma plus grande peur. Moi-même.

Pourquoi est-ce que je suis toujours la petite sœur que vous n'avez jamais eue, la bonne copine Pourquoi est-ce que je suis incapable de me faire aimer vraiment ou plutôt, pourquoi est-ce que je suis incapable d'accepter de plaire. Non il faut que je me protège, me surprotège pour ne rien ressentir et ainsi ne pas risquer de souffrir plus tard alors que je souffre d'une autre manière et qu'en plus je fais aussi du mal à d'autres Je suis désolée pour ça, sincèrement. Je ne sais pas quoi te dire, je ne sais jamais quoi te répondre et je sais qu'en ne disant rien c'est pire, mais je suis bloquée

Je suis fatiguée. Mentalement, physiquement. C'est surement pour ça que je suis comme cela Je veux pouvoir arrêter, pouvoir me sentir bien a nouveau. Et ne plus me poser ces questions qui me font tant de mal...

Comment je peux dire ça après avoir passé un week end aussi formidable???

Mardi 8 janvier 2008 à 0:41

Mais quel con.

Et quelle conne je suis de m'accrocher à lui.

Plus froid je crois que c'est difficilement possible.

Maintenant je suis sûre que la meilleure chose pour moi est de l'oublier.

Les preuves s'accumulent. Je n'y prêtais guère attention, il va bien falloir maintenant, je n'ai plus vraiment le choix.

Mardi 8 janvier 2008 à 0:30

[ réapparition de vieux textes...]

Hey ! Comment tu vas ? J'espère que pour toi tout va bien. Sache que pour moi tout va bien. Mise à part une chose. Quelque chose d'une grande importance pour moi. Et tu sais ce que c'est ? Bien sur que tu le sais. Tu joue même avec. Ce qui me fait du mal c'est Toi. J'aimerai tellement que notre petit jeu cesse. Ne serait ce qu'un peu. J'ai besoin de te parler de mettre les choses au clair. Je sais plus ce que tu penses, alors que je sais enfin ce que je ressens. Je suis même prête à remettre en question le rêve que je nous réservais. A le commencer différemment. Mais sans toi, sans aucun signe de toi qu'est ce que je peux faire ? Je ne peux même pas passer à autre chose…

Mardi 8 janvier 2008 à 0:21

C'est quand on perd quelque chose qu'on se rend compte à quel point on y tenait. C'est ben cela qu'on dit n'est ce pas? Ca fait donc si lontemps que je t'ai perdu? Peu être en fait. Mais comment savoir. Je suis incapable d'entameer toute discussion serieuse avec toi et toi tu les fuis, ou me force à m'en écarter...

Il semble que tu as eu la force, le courage, le temps; je ne sais pas comment le dire, de tourner la page, de passer à autre chose. C'est normal. Un jour, tu m'as dit que je me faisais désirer. Oui je sais ça date ! J'en ai peu être trop user. Alors forcément à force...

Sentiments à retardement. Non pas toujours. Mais là c'est bien ça... En décalé en tout cas...

Vous suivez pas? Tu ne comprends pas? Tu t'en fous et ca te fais marrer? tant mieux! Mais dit le moi. Il est possible que ça m'aide. Le mieux aurait été que tu ne lise pas ça. Bref ! Qu'est ce que ca change? Ca te conforte, t'as eu raison de changer. Et moi ça me vide. Balance moi tout. Toi aussi. T'osais me poser les questions... moi pas...

Je ne sais pas comment finir cet article... tant pis...

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